Maroc : des journalistes, dont Omar Radi et Soulaimane Raissouni, et des militants libérés après une grâce royale
Les deux reporters, ainsi que Taoufik Bouachrine, avaient rejeté les accusations d’agressions sexuelles retenues contre eux, estimant qu’il s’agissait d’une manière de les punir à cause de leurs opinions. Maati Monjib, historien et défenseur des droits humains franco-marocain, a également été gracié.