« Pour moi, la guerre d’Algérie a commencé dans un long cri strident »
Soixante ans après la signature des accords d’Evian, convoquant ses souvenirs, dont celui de l’assassinat de son père en 1957, l’écrivaine algérienne Maïssa Bey raconte, dans un texte écrit pour « Le Monde », l’entrée fracassante de la guerre dans sa vie d’enfant.