« Les crimes du colonialisme et de la guerre d’Algérie doivent être reconnus, non par “repentance” mais par souci de vérité »
Loin de réconcilier les mémoires blessées, le repentir est un guet-apens qui empêche la reconnaissance des faits et de la responsabilité politique des événements du passé, relève dans sa chronique Philippe Bernard.