« Un office franco-algérien pour la jeunesse aiderait à construire une relation d’égalité, débarrassée du surplomb colonial »
Soixante ans après l’indépendance de l’Algérie, les enjeux de reconnaissance symbolique ou de réconciliation restent importants, mais les jeunesses se situent au-delà, dans l’invention d’une relation d’égalité. Dans une tribune pour Le Monde », un collectif de douze signataires, responsables d’organisations de jeunesse des deux pays, propose la création d’un office franco-algérien (ou algéro-français) pour la jeunesse.