« Le coup de force au Niger démontre les limites stratégiques d’une puissance moyenne qui n’en finit pas de purger son passé colonial »

Après le Mali et le Burkina Faso, le putsch nigérien invite à s’interroger sur le succès des coopérations militaires françaises, qui, concrètement, reviennent à former des putschistes, estime, dans une tribune au « Monde », le politiste Marc-Antoine Pérouse de Montclos.