A Abidjan, le désarroi des parents qui veulent transmettre leur langue maternelle à leurs enfants

« Darons d’ailleurs ». Deux fois par mois, l’un de nos journalistes à l’étranger explore la parentalité hors de nos frontières. Dans la capitale économique ivoirienne, le sénoufo, l’abron, l’azihi et les dizaines d’autres idiomes locaux se perdent au profit du français, seule langue officielle du pays.