En Tunisie, des peines de prison allant jusqu’à soixante-six ans pour complot contre la sûreté de l’Etat
Les quarante accusés ont été jugés coupables à des degrés divers, avait précisé un responsable du parquet antiterroriste. Human Rights Watch a estimé que Kaïs Saïed « instrumentalisait le système judiciaire pour s’en prendre aux opposants et aux dissidents ».