« Sur l’Algérie, Emmanuel Macron a dit publiquement ce que ses prédécesseurs disaient en privé »

La réaction virulente du régime algérien aux propos tenus par le chef de l’Etat français le 30 septembre tient à ce qu’il n’assume pas que sa démocratie est « juste formelle » puisque sa souveraineté est dans les mains de la hiérarchie militaire, analyse le politiste dans une tribune au « Monde ».