« Quand je parle de sexualité, c’est la plupart du temps en français. En wolof, ça sonne très vulgaire »

« Afrique intime ». Pour Maya Diallo, influenceuse et gérante d’un sex shop à Dakar, beaucoup de Sénégalaises peinent à accéder au plaisir car elles « ne connaissent pas leur corps ».